Violence des mineurs : l’État néglige son rôle, selon SGP Police FO

Violence des mineurs : "L'État ne fait plus son travail" et a laissé "trop de liberté à ces gamins", affirme le secrétaire national de SGP Police FO
          Lundi 29 avril, Gabriel Attal a entamé des discussions avec les différents partis politiques afin de trouver des solutions pour endiguer la violence d'une partie de la jeunesse. Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat SGP Police FO, est dans le 19/20 info pour en discuter.

Le lundi 29 avril, Gabriel Attal a lancé des pourparlers avec les divers partis politiques dans le but de chercher des solutions pour contrer la violence observée chez une partie de la jeunesse. Invité dans l’émission 19/20 info, Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat SGP Police FO, s’est exprimé sur ce sujet et a partagé son point de vue.

La nécessité d’une réaction face à la violence des jeunes

Le samedi 27 avril, un jeune de 15 ans prénommé Matisse a perdu la vie lors d’une bagarre à Châteauroux, dans l’Indre. Suite à cet événement tragique, le Premier ministre Gabriel Attal a engagé des discussions avec les différents partis politiques pour trouver des solutions afin d’endiguer la violence qui touche une partie de la jeunesse.

Pour Jean-Christophe Couvy, secrétaire national du syndicat SGP Police FO, il est essentiel de réfléchir à la réaction à adopter en tant que policiers face à des jeunes qui semblent en marge de toute structure. Il estime que l’école a pour mission d’instruire et non d’éduquer, et que cette responsabilité incombe aux parents. Selon lui, l’État a failli à sa tâche en laissant trop de liberté aux jeunes, ce qui a conduit à une situation où les enfants semblent avoir pris le contrôle.

Il souligne l’importance de la responsabilité parentale et appelle à une prise de conscience collective pour faire face à cette réalité préoccupante.

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