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Manifestation contre la fermeture de l'usine Poulain : "C'est le patrimoine de Blois et les Français sont très attachés à la marque", souligne la CGT
          Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce une fermeture injustifiée de l'usine de Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), décidée uniquement pour que les "actionnaires fassent d'autant plus de profits"

La CGT dénonce la fermeture de l’usine Poulain à Blois

La fermeture de l’usine Poulain à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), suscite une vive indignation parmi les salariés et les habitants de la région. Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce un choix motivé uniquement par la recherche de profits supplémentaires de la part des actionnaires.

Pour la CGT, cette décision de fermeture est injustifiée et met en péril le patrimoine industriel de la région. En effet, l’usine Poulain est une marque emblématique pour Blois et les Français, qui y sont très attachés. La disparition de cette usine serait non seulement un coup dur pour l’emploi local, mais aussi une perte symbolique importante.

Face à cette situation, les salariés de l’usine et leurs soutiens ont décidé d’organiser une manifestation pour protester contre la fermeture. Ils entendent ainsi faire entendre leur voix et mobiliser l’opinion publique sur cette question. Pour la CGT, il est essentiel de défendre l’emploi et le patrimoine industriel français face aux intérêts financiers des actionnaires.

Cette mobilisation témoigne de l’attachement profond des salariés et des habitants de la région à l’usine Poulain. La marque incarne une histoire et une tradition qui font partie intégrante de l’identité de Blois. La CGT souligne l’importance de préserver ce patrimoine industriel et de lutter contre les décisions économiques qui mettent en péril l’emploi et les savoir-faire locaux.

En conclusion, la fermeture de l’usine Poulain à Blois est vivement contestée par la CGT et les salariés. Cette décision est perçue comme une menace pour le patrimoine industriel et l’emploi dans la région. La mobilisation en cours vise à sensibiliser l’opinion publique et à défendre les intérêts des travailleurs face aux intérêts financiers des actionnaires.

Tony Anjoran, représentant syndical de la CGT, s’insurge contre la décision de fermer l’usine de Villebarou, située à proximité de […]

La CGT dénonce la fermeture de l’usine Poulain à Blois

La fermeture de l’usine Poulain à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), suscite une vive indignation parmi les salariés et les habitants de la région. Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce un choix motivé uniquement par la recherche de profits supplémentaires de la part des actionnaires.

Pour la CGT, cette décision de fermeture est injustifiée et met en péril le patrimoine industriel de la région. En effet, l’usine Poulain est une marque emblématique pour Blois et les Français, qui y sont très attachés. La disparition de cette usine serait non seulement un coup dur pour l’emploi local, mais aussi une perte symbolique importante.

Face à cette situation, les salariés de l’usine et leurs soutiens ont décidé d’organiser une manifestation pour protester contre la fermeture. Ils entendent ainsi faire entendre leur voix et mobiliser l’opinion publique sur cette question. Pour la CGT, il est essentiel de défendre l’emploi et le patrimoine industriel français face aux intérêts financiers des actionnaires.

Cette mobilisation témoigne de l’attachement profond des salariés et des habitants de la région à l’usine Poulain. La marque incarne une histoire et une tradition qui font partie intégrante de l’identité de Blois. La CGT souligne l’importance de préserver ce patrimoine industriel et de lutter contre les décisions économiques qui mettent en péril l’emploi et les savoir-faire locaux.

En conclusion, la fermeture de l’usine Poulain à Blois est vivement contestée par la CGT et les salariés. Cette décision est perçue comme une menace pour le patrimoine industriel et l’emploi dans la région. La mobilisation en cours vise à sensibiliser l’opinion publique et à défendre les intérêts des travailleurs face aux intérêts financiers des actionnaires.
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Plan "Marseille en grand" : "Les premières écoles seront livrées à la fin de l’année, l’ensemble du plan c’est à 2032", précise Sabrina Agresti-Roubache
          Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté et de la Ville, était l’invitée des "4 Vérités" de France 2, mercredi 8 mai.

Livraison des premières écoles de « Marseille en grand » fin 2021, plan complet d’ici 2032 selon Sabrina Agresti-Roubache

Lors de son intervention sur le plateau des « 4 Vérités » de France 2 le mercredi 8 mai, Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté et de la Ville, a précisé les avancées du plan « Marseille en grand ». Elle a annoncé que les premières écoles du projet seraient livrées d’ici la fin de l’année 2021, et que l’ensemble du plan serait réalisé d’ici 2032.

Cette initiative vise à améliorer la qualité de vie des habitants de Marseille en rénovant les infrastructures éducatives de la ville. Sabrina Agresti-Roubache a souligné l’importance de ce projet pour l’avenir de la jeunesse marseillaise, en offrant des conditions d’apprentissage optimales.

Elle a également rappelé que le plan « Marseille en grand » ne se limite pas seulement à la rénovation des écoles, mais englobe également d’autres aspects tels que la rénovation urbaine, la valorisation du patrimoine ou encore le renforcement de la cohésion sociale dans les quartiers prioritaires.

Sabrina Agresti-Roubache a insisté sur l’engagement du gouvernement à mener à bien ce projet ambitieux, qui contribuera à transformer en profondeur la ville de Marseille et à offrir de meilleures perspectives d’avenir à ses habitants.

Le mercredi 8 mai, Sabrina Agresti-Roubache, qui occupe le poste de secrétaire d’État en charge de la Citoyenneté et de

Livraison des premières écoles de « Marseille en grand » fin 2021, plan complet d’ici 2032 selon Sabrina Agresti-Roubache

Lors de son intervention sur le plateau des « 4 Vérités » de France 2 le mercredi 8 mai, Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté et de la Ville, a précisé les avancées du plan « Marseille en grand ». Elle a annoncé que les premières écoles du projet seraient livrées d’ici la fin de l’année 2021, et que l’ensemble du plan serait réalisé d’ici 2032.

Cette initiative vise à améliorer la qualité de vie des habitants de Marseille en rénovant les infrastructures éducatives de la ville. Sabrina Agresti-Roubache a souligné l’importance de ce projet pour l’avenir de la jeunesse marseillaise, en offrant des conditions d’apprentissage optimales.

Elle a également rappelé que le plan « Marseille en grand » ne se limite pas seulement à la rénovation des écoles, mais englobe également d’autres aspects tels que la rénovation urbaine, la valorisation du patrimoine ou encore le renforcement de la cohésion sociale dans les quartiers prioritaires.

Sabrina Agresti-Roubache a insisté sur l’engagement du gouvernement à mener à bien ce projet ambitieux, qui contribuera à transformer en profondeur la ville de Marseille et à offrir de meilleures perspectives d’avenir à ses habitants.
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