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Nouvelle-Calédonie : le transfert de militants dans l'Hexagone est vécu "comme l'expression de la justice coloniale", analyse un anthropologue
          Benoît Trépied, spécialiste de la Nouvelle-Calédonie, a critiqué le transfert en métropole de sept militants indépendantistes kanak du CCAT, accusés d'avoir organisé les émeutes il y a quelques semaines.

Le transfert de militants kanak accusés d’émeutes en métropole critiqué par un spécialiste de la Nouvelle-Calédonie

Benoît Trépied, anthropologue spécialisé dans la Nouvelle-Calédonie, a exprimé des réserves quant au transfert en métropole de sept militants indépendantistes kanak du CCAT, accusés d’avoir participé à l’organisation des émeutes survenues il y a quelques semaines. Selon lui, cette décision est perçue comme une manifestation de la justice coloniale par la population locale.

Pour Benoît Trépied, ce transfert des militants kanak vers la France est vécu comme une forme d’injustice et de mépris envers la communauté indigène de Nouvelle-Calédonie. Il souligne que cette action renforce les tensions déjà existantes entre les différentes communautés de l’archipel.

L’anthropologue met en lumière le contexte historique et politique complexe de la Nouvelle-Calédonie, marqué par des décennies de colonisation et de luttes pour l’indépendance. Selon lui, le traitement réservé aux militants kanak renvoie à des schémas anciens de domination et de discrimination.

Benoît Trépied appelle à une réflexion approfondie sur les enjeux de justice et d’égalité en Nouvelle-Calédonie, afin de favoriser un dialogue inclusif et respectueux entre toutes les parties prenantes. Il met en garde contre les risques d’escalade des tensions et souligne l’importance de trouver des solutions pacifiques et durables pour la stabilité de l’archipel.

Benoît Trépied, un expert renommé de la Nouvelle-Calédonie, a exprimé des réserves quant à la décision de transférer en métropole […]

Le transfert de militants kanak accusés d’émeutes en métropole critiqué par un spécialiste de la Nouvelle-Calédonie

Benoît Trépied, anthropologue spécialisé dans la Nouvelle-Calédonie, a exprimé des réserves quant au transfert en métropole de sept militants indépendantistes kanak du CCAT, accusés d’avoir participé à l’organisation des émeutes survenues il y a quelques semaines. Selon lui, cette décision est perçue comme une manifestation de la justice coloniale par la population locale.

Pour Benoît Trépied, ce transfert des militants kanak vers la France est vécu comme une forme d’injustice et de mépris envers la communauté indigène de Nouvelle-Calédonie. Il souligne que cette action renforce les tensions déjà existantes entre les différentes communautés de l’archipel.

L’anthropologue met en lumière le contexte historique et politique complexe de la Nouvelle-Calédonie, marqué par des décennies de colonisation et de luttes pour l’indépendance. Selon lui, le traitement réservé aux militants kanak renvoie à des schémas anciens de domination et de discrimination.

Benoît Trépied appelle à une réflexion approfondie sur les enjeux de justice et d’égalité en Nouvelle-Calédonie, afin de favoriser un dialogue inclusif et respectueux entre toutes les parties prenantes. Il met en garde contre les risques d’escalade des tensions et souligne l’importance de trouver des solutions pacifiques et durables pour la stabilité de l’archipel.
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Manifestation contre la fermeture de l'usine Poulain : "C'est le patrimoine de Blois et les Français sont très attachés à la marque", souligne la CGT
          Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce une fermeture injustifiée de l'usine de Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), décidée uniquement pour que les "actionnaires fassent d'autant plus de profits"

La CGT dénonce la fermeture de l’usine Poulain à Blois

La fermeture de l’usine Poulain à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), suscite une vive indignation parmi les salariés et les habitants de la région. Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce un choix motivé uniquement par la recherche de profits supplémentaires de la part des actionnaires.

Pour la CGT, cette décision de fermeture est injustifiée et met en péril le patrimoine industriel de la région. En effet, l’usine Poulain est une marque emblématique pour Blois et les Français, qui y sont très attachés. La disparition de cette usine serait non seulement un coup dur pour l’emploi local, mais aussi une perte symbolique importante.

Face à cette situation, les salariés de l’usine et leurs soutiens ont décidé d’organiser une manifestation pour protester contre la fermeture. Ils entendent ainsi faire entendre leur voix et mobiliser l’opinion publique sur cette question. Pour la CGT, il est essentiel de défendre l’emploi et le patrimoine industriel français face aux intérêts financiers des actionnaires.

Cette mobilisation témoigne de l’attachement profond des salariés et des habitants de la région à l’usine Poulain. La marque incarne une histoire et une tradition qui font partie intégrante de l’identité de Blois. La CGT souligne l’importance de préserver ce patrimoine industriel et de lutter contre les décisions économiques qui mettent en péril l’emploi et les savoir-faire locaux.

En conclusion, la fermeture de l’usine Poulain à Blois est vivement contestée par la CGT et les salariés. Cette décision est perçue comme une menace pour le patrimoine industriel et l’emploi dans la région. La mobilisation en cours vise à sensibiliser l’opinion publique et à défendre les intérêts des travailleurs face aux intérêts financiers des actionnaires.

Tony Anjoran, représentant syndical de la CGT, s’insurge contre la décision de fermer l’usine de Villebarou, située à proximité de

La CGT dénonce la fermeture de l’usine Poulain à Blois

La fermeture de l’usine Poulain à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), suscite une vive indignation parmi les salariés et les habitants de la région. Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce un choix motivé uniquement par la recherche de profits supplémentaires de la part des actionnaires.

Pour la CGT, cette décision de fermeture est injustifiée et met en péril le patrimoine industriel de la région. En effet, l’usine Poulain est une marque emblématique pour Blois et les Français, qui y sont très attachés. La disparition de cette usine serait non seulement un coup dur pour l’emploi local, mais aussi une perte symbolique importante.

Face à cette situation, les salariés de l’usine et leurs soutiens ont décidé d’organiser une manifestation pour protester contre la fermeture. Ils entendent ainsi faire entendre leur voix et mobiliser l’opinion publique sur cette question. Pour la CGT, il est essentiel de défendre l’emploi et le patrimoine industriel français face aux intérêts financiers des actionnaires.

Cette mobilisation témoigne de l’attachement profond des salariés et des habitants de la région à l’usine Poulain. La marque incarne une histoire et une tradition qui font partie intégrante de l’identité de Blois. La CGT souligne l’importance de préserver ce patrimoine industriel et de lutter contre les décisions économiques qui mettent en péril l’emploi et les savoir-faire locaux.

En conclusion, la fermeture de l’usine Poulain à Blois est vivement contestée par la CGT et les salariés. Cette décision est perçue comme une menace pour le patrimoine industriel et l’emploi dans la région. La mobilisation en cours vise à sensibiliser l’opinion publique et à défendre les intérêts des travailleurs face aux intérêts financiers des actionnaires.
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