patrimoine

Le château médiéval d'Aubenas, en Ardèche, se transforme en Centre d'Art contemporain et du Patrimoine
          Les visiteurs pourront découvrir le Château d'Aubenas autrement dès le 6 juillet. Après 7 ans de travaux, ce joyau de l'architecture médiéval s'est transformé en centre d'Art contemporain qui accueille sa première exposition. "Habiter la nature".

Transformation du château médiéval d’Aubenas en Centre d’Art contemporain

Le 6 juillet marquera une nouvelle ère pour le Château d’Aubenas, en Ardèche. Après une période de 7 ans de travaux, ce monument historique se métamorphose en un Centre d’Art contemporain et du Patrimoine. Les visiteurs auront ainsi l’opportunité de découvrir ce joyau de l’architecture médiévale sous un nouveau jour.

La première exposition accueillie par ce Centre d’Art contemporain s’intitule « Habiter la nature ». Ce thème résonne particulièrement bien dans cet écrin chargé d’histoire, où la nature environnante offre un cadre majestueux au château. Les artistes invités à participer à cette exposition ont ainsi été inspirés par cette harmonie entre patrimoine bâti et nature sauvage.

Les visiteurs auront la chance de déambuler dans les différentes salles du château, qui ont été réaménagées pour accueillir les œuvres contemporaines. Cette rencontre entre le passé et le présent offre une expérience culturelle riche et immersive, permettant aux visiteurs de se plonger dans l’art sous toutes ses formes.

Ce Centre d’Art contemporain et du Patrimoine constitue un lieu de rencontre et d’échange entre les artistes, les visiteurs et le patrimoine architectural d’Aubenas. Cette initiative vise à renouveler l’intérêt pour ce monument historique, en le positionnant au cœur de la scène artistique contemporaine.

En somme, la transformation du Château d’Aubenas en Centre d’Art contemporain et du Patrimoine ouvre de nouvelles perspectives pour ce lieu chargé d’histoire. Les visiteurs pourront désormais admirer des œuvres d’art contemporain tout en découvrant l’architecture médiévale de ce château emblématique de l’Ardèche.

Dès le 6 juillet, les visiteurs auront la possibilité de découvrir le Château d’Aubenas d’une manière totalement inédite. En effet,

Transformation du château médiéval d’Aubenas en Centre d’Art contemporain

Le 6 juillet marquera une nouvelle ère pour le Château d’Aubenas, en Ardèche. Après une période de 7 ans de travaux, ce monument historique se métamorphose en un Centre d’Art contemporain et du Patrimoine. Les visiteurs auront ainsi l’opportunité de découvrir ce joyau de l’architecture médiévale sous un nouveau jour.

La première exposition accueillie par ce Centre d’Art contemporain s’intitule « Habiter la nature ». Ce thème résonne particulièrement bien dans cet écrin chargé d’histoire, où la nature environnante offre un cadre majestueux au château. Les artistes invités à participer à cette exposition ont ainsi été inspirés par cette harmonie entre patrimoine bâti et nature sauvage.

Les visiteurs auront la chance de déambuler dans les différentes salles du château, qui ont été réaménagées pour accueillir les œuvres contemporaines. Cette rencontre entre le passé et le présent offre une expérience culturelle riche et immersive, permettant aux visiteurs de se plonger dans l’art sous toutes ses formes.

Ce Centre d’Art contemporain et du Patrimoine constitue un lieu de rencontre et d’échange entre les artistes, les visiteurs et le patrimoine architectural d’Aubenas. Cette initiative vise à renouveler l’intérêt pour ce monument historique, en le positionnant au cœur de la scène artistique contemporaine.

En somme, la transformation du Château d’Aubenas en Centre d’Art contemporain et du Patrimoine ouvre de nouvelles perspectives pour ce lieu chargé d’histoire. Les visiteurs pourront désormais admirer des œuvres d’art contemporain tout en découvrant l’architecture médiévale de ce château emblématique de l’Ardèche.
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Manifestation contre la fermeture de l'usine Poulain : "C'est le patrimoine de Blois et les Français sont très attachés à la marque", souligne la CGT
          Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce une fermeture injustifiée de l'usine de Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), décidée uniquement pour que les "actionnaires fassent d'autant plus de profits"

La CGT dénonce la fermeture de l’usine Poulain à Blois

La fermeture de l’usine Poulain à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), suscite une vive indignation parmi les salariés et les habitants de la région. Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce un choix motivé uniquement par la recherche de profits supplémentaires de la part des actionnaires.

Pour la CGT, cette décision de fermeture est injustifiée et met en péril le patrimoine industriel de la région. En effet, l’usine Poulain est une marque emblématique pour Blois et les Français, qui y sont très attachés. La disparition de cette usine serait non seulement un coup dur pour l’emploi local, mais aussi une perte symbolique importante.

Face à cette situation, les salariés de l’usine et leurs soutiens ont décidé d’organiser une manifestation pour protester contre la fermeture. Ils entendent ainsi faire entendre leur voix et mobiliser l’opinion publique sur cette question. Pour la CGT, il est essentiel de défendre l’emploi et le patrimoine industriel français face aux intérêts financiers des actionnaires.

Cette mobilisation témoigne de l’attachement profond des salariés et des habitants de la région à l’usine Poulain. La marque incarne une histoire et une tradition qui font partie intégrante de l’identité de Blois. La CGT souligne l’importance de préserver ce patrimoine industriel et de lutter contre les décisions économiques qui mettent en péril l’emploi et les savoir-faire locaux.

En conclusion, la fermeture de l’usine Poulain à Blois est vivement contestée par la CGT et les salariés. Cette décision est perçue comme une menace pour le patrimoine industriel et l’emploi dans la région. La mobilisation en cours vise à sensibiliser l’opinion publique et à défendre les intérêts des travailleurs face aux intérêts financiers des actionnaires.

Tony Anjoran, représentant syndical de la CGT, s’insurge contre la décision de fermer l’usine de Villebarou, située à proximité de

La CGT dénonce la fermeture de l’usine Poulain à Blois

La fermeture de l’usine Poulain à Villebarou, près de Blois (Loir-et-Cher), suscite une vive indignation parmi les salariés et les habitants de la région. Le délégué syndical CGT Tony Anjoran dénonce un choix motivé uniquement par la recherche de profits supplémentaires de la part des actionnaires.

Pour la CGT, cette décision de fermeture est injustifiée et met en péril le patrimoine industriel de la région. En effet, l’usine Poulain est une marque emblématique pour Blois et les Français, qui y sont très attachés. La disparition de cette usine serait non seulement un coup dur pour l’emploi local, mais aussi une perte symbolique importante.

Face à cette situation, les salariés de l’usine et leurs soutiens ont décidé d’organiser une manifestation pour protester contre la fermeture. Ils entendent ainsi faire entendre leur voix et mobiliser l’opinion publique sur cette question. Pour la CGT, il est essentiel de défendre l’emploi et le patrimoine industriel français face aux intérêts financiers des actionnaires.

Cette mobilisation témoigne de l’attachement profond des salariés et des habitants de la région à l’usine Poulain. La marque incarne une histoire et une tradition qui font partie intégrante de l’identité de Blois. La CGT souligne l’importance de préserver ce patrimoine industriel et de lutter contre les décisions économiques qui mettent en péril l’emploi et les savoir-faire locaux.

En conclusion, la fermeture de l’usine Poulain à Blois est vivement contestée par la CGT et les salariés. Cette décision est perçue comme une menace pour le patrimoine industriel et l’emploi dans la région. La mobilisation en cours vise à sensibiliser l’opinion publique et à défendre les intérêts des travailleurs face aux intérêts financiers des actionnaires.
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"Dégun, tarpin, le oaï" : le parler marseillais expliqué dans un dictionnaire régional aux éditions Le Robert
          Le saviez-vous ? Le parler marseillais, c'est 2 000 mots, recensés et expliqués par le linguiste Médéric Gasquet-Cyrus. "À Marseille, ça se dit comme ça" rejoint les dictionnaires régionaux aux éditions Le Robert.

Dictionnaire régional du parler marseillais : 2 000 mots expliqués par Médéric Gasquet-Cyrus

Saviez-vous que le parler marseillais compte environ 2 000 mots différents ? C’est ce que révèle le linguiste Médéric Gasquet-Cyrus dans son ouvrage intitulé « À Marseille, ça se dit comme ça ». Ce dictionnaire régional, publié par les éditions Le Robert, vient ainsi compléter la collection des ouvrages linguistiques dédiés aux langues régionales.

Dans cet ouvrage, les lecteurs pourront découvrir et comprendre le sens de nombreux termes typiquement marseillais, tels que « dégun », « tarpin » ou encore « le oaï ». Chaque mot est soigneusement recensé et expliqué, permettant ainsi aux curieux de mieux appréhender la richesse et la diversité du langage utilisé à Marseille.

Grâce à ce dictionnaire, il devient plus facile de comprendre les expressions et les mots souvent utilisés par les habitants de la cité phocéenne. Une véritable immersion dans la culture et le patrimoine linguistique de la région, qui ne manquera pas d’enrichir la connaissance des lecteurs sur le parler marseillais.

Saviez-vous que le dialecte marseillais est composé de plus de 2 000 mots, minutieusement recensés et analysés par le linguiste

Dictionnaire régional du parler marseillais : 2 000 mots expliqués par Médéric Gasquet-Cyrus

Saviez-vous que le parler marseillais compte environ 2 000 mots différents ? C’est ce que révèle le linguiste Médéric Gasquet-Cyrus dans son ouvrage intitulé « À Marseille, ça se dit comme ça ». Ce dictionnaire régional, publié par les éditions Le Robert, vient ainsi compléter la collection des ouvrages linguistiques dédiés aux langues régionales.

Dans cet ouvrage, les lecteurs pourront découvrir et comprendre le sens de nombreux termes typiquement marseillais, tels que « dégun », « tarpin » ou encore « le oaï ». Chaque mot est soigneusement recensé et expliqué, permettant ainsi aux curieux de mieux appréhender la richesse et la diversité du langage utilisé à Marseille.

Grâce à ce dictionnaire, il devient plus facile de comprendre les expressions et les mots souvent utilisés par les habitants de la cité phocéenne. Une véritable immersion dans la culture et le patrimoine linguistique de la région, qui ne manquera pas d’enrichir la connaissance des lecteurs sur le parler marseillais.
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Plan "Marseille en grand" : "Les premières écoles seront livrées à la fin de l’année, l’ensemble du plan c’est à 2032", précise Sabrina Agresti-Roubache
          Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté et de la Ville, était l’invitée des "4 Vérités" de France 2, mercredi 8 mai.

Livraison des premières écoles de « Marseille en grand » fin 2021, plan complet d’ici 2032 selon Sabrina Agresti-Roubache

Lors de son intervention sur le plateau des « 4 Vérités » de France 2 le mercredi 8 mai, Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté et de la Ville, a précisé les avancées du plan « Marseille en grand ». Elle a annoncé que les premières écoles du projet seraient livrées d’ici la fin de l’année 2021, et que l’ensemble du plan serait réalisé d’ici 2032.

Cette initiative vise à améliorer la qualité de vie des habitants de Marseille en rénovant les infrastructures éducatives de la ville. Sabrina Agresti-Roubache a souligné l’importance de ce projet pour l’avenir de la jeunesse marseillaise, en offrant des conditions d’apprentissage optimales.

Elle a également rappelé que le plan « Marseille en grand » ne se limite pas seulement à la rénovation des écoles, mais englobe également d’autres aspects tels que la rénovation urbaine, la valorisation du patrimoine ou encore le renforcement de la cohésion sociale dans les quartiers prioritaires.

Sabrina Agresti-Roubache a insisté sur l’engagement du gouvernement à mener à bien ce projet ambitieux, qui contribuera à transformer en profondeur la ville de Marseille et à offrir de meilleures perspectives d’avenir à ses habitants.

Le mercredi 8 mai, Sabrina Agresti-Roubache, qui occupe le poste de secrétaire d’État en charge de la Citoyenneté et de

Livraison des premières écoles de « Marseille en grand » fin 2021, plan complet d’ici 2032 selon Sabrina Agresti-Roubache

Lors de son intervention sur le plateau des « 4 Vérités » de France 2 le mercredi 8 mai, Sabrina Agresti-Roubache, secrétaire d’État chargée de la Citoyenneté et de la Ville, a précisé les avancées du plan « Marseille en grand ». Elle a annoncé que les premières écoles du projet seraient livrées d’ici la fin de l’année 2021, et que l’ensemble du plan serait réalisé d’ici 2032.

Cette initiative vise à améliorer la qualité de vie des habitants de Marseille en rénovant les infrastructures éducatives de la ville. Sabrina Agresti-Roubache a souligné l’importance de ce projet pour l’avenir de la jeunesse marseillaise, en offrant des conditions d’apprentissage optimales.

Elle a également rappelé que le plan « Marseille en grand » ne se limite pas seulement à la rénovation des écoles, mais englobe également d’autres aspects tels que la rénovation urbaine, la valorisation du patrimoine ou encore le renforcement de la cohésion sociale dans les quartiers prioritaires.

Sabrina Agresti-Roubache a insisté sur l’engagement du gouvernement à mener à bien ce projet ambitieux, qui contribuera à transformer en profondeur la ville de Marseille et à offrir de meilleures perspectives d’avenir à ses habitants.
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