La rentrée littéraire est marquée par la sortie du livre « Qui après nous vivrez » d’Hervé Le Corre, un roman post-apocalyptique sombre et intrigant qui ne laisse pas indifférent. De leur côté, Arnaldur Indridason et Joseph O’Connor nous plongent dans des récits qui nous invitent à regarder le passé en face, à travers des histoires poignantes et captivantes.
Le polar et le thriller sont des genres littéraires qui captivent de nombreux lecteurs, représentant près d’un quart des ventes de livres. Ces romans noirs scrutent le présent tout en explorant des événements du passé, comme le fait Joseph O’Connor en revenant sur la vie de Hugh O’Flaherty, un prêtre irlandais rattaché au Vatican qui a sauvé des milliers de juifs et de soldats alliés pendant la Seconde Guerre mondiale.
« Hervé Le Corre : le futur n’a pas d’avenir » est un roman crépusculaire à ne pas manquer. L’auteur sonne le glas de l’insouciance et de la récréation, mettant en lumière les questionnements sur l’avenir et l’humanité. Dans une ambiance post-apocalyptique, ce livre nous plonge dans un futur décomposé qui ressemble étrangement à un passé lointain. Le récit se déroule dans un monde en crise, où la résilience et l’espoir sont les maîtres mots.
« L’Été d’avant » de Lisa Gardner nous entraîne dans une enquête haletante menée par une détective au passé trouble. Cherchant à retrouver des personnes disparues, elle doit lutter contre ses propres démons, offrant au lecteur un thriller psychologique captivant.
« Dans la maison de mon père » de Joseph O’Connor est un exploit littéraire, plongeant le lecteur dans les méandres de Rome sous l’occupation nazie. Inspiré de faits réels, ce thriller historique met en lumière le courage d’un prêtre irlandais ayant sauvé de nombreuses vies pendant la guerre.
Enfin, « Disparue à cette adresse » de Linwood Barclay est un roman plein de rebondissements, où la disparition mystérieuse d’une femme entraîne son mari dans une série d’événements déroutants. L’auteur joue avec les apparences et les faux-semblants pour tenir en haleine le lecteur jusqu’à la dernière page.
