La commune qualifie l’installation de « précipitée ». Cela signifie qu’elle considère que la mise en place de quelque chose s’est faite de manière hâtive, sans prendre le temps nécessaire pour bien réfléchir et planifier. Cette précipitation peut entraîner des conséquences négatives, car agir dans la précipitation peut conduire à des erreurs ou à des résultats insatisfaisants. Il est donc important de prendre le temps de bien réfléchir et d’organiser les choses de manière réfléchie et méthodique, afin d’éviter les situations où l’on se retrouve à regretter une décision prise trop rapidement.
Drapeau palestinien retiré du pont Saint-Esprit à Bayonne
Le drapeau palestinien a été hissé pour quelques heures au-dessus de l’Adour, sur le pont Saint-Esprit, à Bayonne (Pyrénées-Atlantiques), avant d’être retiré, selon les informations de France Bleu Pays basque.
La municipalité de Bayonne avait initialement installé le drapeau le mardi 4 juin dans la matinée, mais les services municipaux l’ont retiré en fin de journée pour le remplacer par une bannière des Jeux olympiques. La mairie a justifié cette action en évoquant une installation « précipitée ». David Tollis, directeur général des services, a précisé que le maire de la ville, Jean-René Etchegaray, n’avait pas donné de consigne pour l’installation du drapeau.
La mairie envisage un débat
Suite à l’installation du drapeau, le parti politique EH Bai Baiona a réagi sur les réseaux sociaux en exprimant sa satisfaction. Le maire Jean-René Etchegaray prévoit d’organiser un débat avec les élus pour discuter de la sensibilité et de la complexité du sujet. Il souhaite consulter ses collègues avant de prendre toute décision. La municipalité prévoit également de faire le point sur l’ensemble des drapeaux présents sur le pont Saint-Esprit, afin de mieux comprendre leur histoire et leur signification.
Le 27 mai, la mairie de Bayonne avait porté plainte après la dégradation du drapeau israélien sur le pont Saint-Esprit.