Procès meurtrier présumé policier Éric Masson à Avignon: ouverture devant cour d’assises Vaucluse

Meurtre du policier Éric Masson à Avignon : le procès s'ouvre devant la cour d'assises du Vaucluse
          Le procès du meurtrier présumé d'Éric Masson s'est ouvert ce matin du lundi 19 février devant la cour d'assises du Vaucluse. Ce policier avait été abattu en 2021 sur un point de deal à Avignon. L'accusé, déjà condamné pour trafic de stupéfiants, encourt la perpétuité et nie toujours les faits.

Le lundi 19 février, le procès du présumé meurtrier d’Éric Masson a débuté devant la cour d’assises d’Avignon, dans le département du Vaucluse. En effet, ce policier avait été tragiquement abattu en 2021 sur un point de deal de la ville. L’accusé risque la réclusion à perpétuité et maintient toujours sa version des faits, niant toute responsabilité dans le meurtre.

Un procès très médiatisé à Avignon

Le procès tant attendu du meurtrier présumé d’Éric Masson a enfin débuté à la cour d’assises d’Avignon (Vaucluse) le lundi 19 février. Ce policier avait été tragiquement tué sur un point de deal à Avignon en 2021. Dans le box des accusés se trouve Illias Akoudad, le jeune homme de 19 ans qui est soupçonné d’être le tireur. Malgré avoir changé plusieurs fois de versions, il continue de nier les faits et affirme qu’il ignorait que la victime était un policier.

Un impact dévastateur sur la Police nationale

En plus du tireur présumé, un autre homme est suspecté de l’avoir hébergé pendant quatre jours alors qu’il était en fuite. Un troisième individu, présent aux côtés du tireur présumé au moment des faits, est également jugé. Ce procès ravive une vive émotion parmi les collègues du policier décédé, touchant même les plus hauts responsables de l’institution. Selon Frédéric Veaux, directeur général de la Police nationale, cette affaire reste un véritable traumatisme pour la Police nationale. Illias Akoudad risque la réclusion à perpétuité pour meurtre et tentative de meurtre sur une personne dépositaire de l’autorité publique.

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