Paris Basketball : Mehdy Ngouama, meneur de jeu, rebondit en finale d’Eurocoupe

Basket : le rebond de Mehdy Ngouama, meneur de jeu du Paris Basketball
          La première manche de la finale de l'Eurocoupe de basket opposera, mardi 9 avril, le Paris Basketball et la Jeunesse laïque de Bourg-en-Bresse. À cette occasion, le journaliste Samuel Ollivier, présent sur le plateau du 8 Heures, s'intéresse au parcours de Mehdy Ngouama, meneur de jeu du Paris Basketball.

Le premier match de la finale de l’Eurocoupe de basket se tiendra le mardi 9 avril entre le Paris Basketball et la Jeunesse laïque de Bourg-en-Bresse. C’est l’occasion pour le journaliste Samuel Ollivier, qui était sur le plateau du 8 Heures, de se pencher sur le parcours de Mehdy Ngouama, le meneur de jeu du Paris Basketball.

Le Paris Basketball et la Jeunesse laïque de Bourg-en-Bresse en finale de l’Eurocoupe

Le Paris Basketball et la Jeunesse laïque de Bourg-en-Bresse (Ain) vont se rencontrer lors de la première manche de la finale de l’Eurocoupe de basket, qui se déroulera le mardi 9 avril. Cette confrontation est l’occasion pour le journaliste Samuel Ollivier de mettre en lumière Mehdy Ngouama, le meneur de jeu du Paris Basketball.

À l’âge de 9 ans, Mehdy Ngouama a été touché par une méningite virale alors qu’il vivait au Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis). Ses souvenirs de cette période sont rares, mais il se rappelle qu’il a été très malade, qu’il a passé un long moment entre la vie et la mort, et qu’il est sorti de l’hôpital en chaise roulante, avec une cicatrice à vie : la perte de l’audition à l’oreille gauche, raconte Samuel Ollivier.

Après des difficultés, une renaissance avec le Paris Basketball

Devenu adulte, Mehdy Ngouama voit son rêve de jouer en NBA s’éloigner et il décide de revenir en France. Après avoir connu des moments difficiles sans club, il connaît finalement une renaissance, notamment grâce au Paris Basketball, souligne Samuel Ollivier. Ce parcours exceptionnel fait de lui aujourd’hui, selon ses propres mots, un survivant, conclut le journaliste.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut