Paris 2024 : Les touristes se réjouissent des prix raisonnables des produits dérivés

Paris 2024 : "Les prix sont raisonnables", se réjouissent des touristes qui font le plein de produits dérivés
          Mascotte, peluches, affiche officielle... À 150 jours du début des épreuves, l'organisation des JO tente d'accroître les ventes de produits dérivés, qui attirent, pour l'instant, surtout les touristes de passage à Paris.

A 150 jours du lancement des Jeux Olympiques, les organisateurs mettent en place différentes stratégies pour augmenter les ventes de produits dérivés. Mascottes, peluches, affiches officielles… tous ces articles attirent principalement les touristes de passage à Paris.

Diego Armando, un touriste argentin séduit par les produits dérivés des Jeux Olympiques Paris 2024

En voyage à Paris, Diego Armando, originaire d’Argentine, a visité le Louvre, où se trouve l’une des six boutiques officielles des Jeux Olympiques de Paris 2024. Il a craqué pour un souvenir : « J’ai pris un porte-clé avec un ballon de basket. Ça m’a surpris : le prix est raisonnable, contrairement au prix des places. » Parmi les multiples articles proposés tels que des tours Eiffel, des boules à neige et des peluches, l’affiche officielle sera disponible à partir du lundi 4 mars, l’un des produits les plus populaires lors des olympiades.

Comme Diego Armando, ce sont principalement les touristes qui se montrent les plus intéressés par les « goodies » pour le moment. Saleh, venu des Etats-Unis, a acheté deux t-shirts avec le logo des JO dans la boutique du Louvre, afin de « célébrer avec tous les Parisiens ». En revanche, les Français semblent moins enthousiastes, notamment en raison des prix jugés élevés.

« C’est ce qui était prévu »

À 150 jours du début des épreuves (26 juillet-11 août), Edouard Bardon, directeur Licence et boutiques officielles pour Paris 2024, indique que 20% des ventes ont déjà été réalisées par rapport au « potentiel » espéré. « Ça fonctionne très bien depuis l’hiver dernier. Depuis, ça ne fait qu’accélérer. On a fait 20% de notre potentiel, et je dirai que les 80% restants arrivent. C’est ce qui était prévu, » ajoute-t-il.

En plus des boutiques officielles, les produits dérivés sont également vendus dans la grande distribution, les gares, les aéroports, totalisant 9 000 points de vente en France. Le comité d’organisation n’a pas souhaité communiquer des chiffres précis sur le nombre de produits vendus et leur succès selon les différents points de vente. Parmi les 5 000 références proposées, 15 à 20 % de ces produits sont fabriqués en France.

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