Nouvelles interdictions pour stopper les violences urbaines à La Réunion

Violences urbaines à La Réunion : de nouvelles interdictions
          L’île de La Réunion est secouée par des violences urbaines et des affrontements entre bandes rivales. Pour endiguer ces troubles à l'ordre public, des mesures renforcées viennnent d'être décidées.

Des actes de violence et des affrontements entre groupes rivaux secouent actuellement l’île de La Réunion. Face à cette situation alarmante, des autorités ont pris des mesures renforcées pour rétablir l’ordre public.

Violences urbaines à La Réunion

Le week-end dernier, une quarantaine de voitures ont été vandalisées dans l’est, à Saint-Benoît, à La Réunion. L’île est en proie à de sérieuses violences urbaines et des affrontements entre bandes. Mercredi 27 mars, 11 maires du département se sont réunis pour essayer d’endiguer le phénomène. Stéphane Enilorac, de Réunion La 1ere.

L’appel des maires semble avoir été entendu, jeudi 28 mars, le préfet de La Réunion, Jérôme Filippini, a communiqué de nouvelles interdictions, « mesures renforcées » pour lutter contre les troubles à l’ordre public. « D’un côté l’interdiction du port et du transport d’armes – de toutes sortes – et de munitions, jusqu’au 29 avril prochain, et de l’autre, celle d’organiser des combats de rue, jusqu’au mardi 2 avril ». 

Tensions en Nouvelle-Calédonie

Le gouvernement propose d’ouvrir le vote aux personnes ayant au moins 10 ans de résidence sur le Caillou. Les indépendantistes demandent le retrait du projet de loi. Ils ont manifesté à Nouméa, mercredi. Et au même moment, les loyalistes se rassemblaient aussi à Nouméa. La présidente de la province Nord, Sonia Backès, s’est adressée aux indépendantistes. Des propos recueillis par Alix Madec et Valentin Deleforterie de Calédonie La 1ere.

Lutte contre l’orpaillage illégal en Guyane

En visite en Guyane, Emmanuel Macron a dévoilé une nouvelle stratégie de lutte contre l’orpaillage illégal. Le président de la République souhaite installer des orpailleurs légaux sur les sites exploités clandestinement par les garimpeiros.

En Guyane toujours, les services de l’Etat se déplacent une fois par mois, à la rencontre des populations les plus isolées, pour leur permettre d’accomplir leurs démarches administratives. Reportage à Trois Sauts, un village situé près de la frontière avec le Brésil, de Ludmia Lewis de Guyane La 1ere.

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