Ministre Transports convaincu : Pas de grève prévue pour Paris 2024

Paris 2024 : le ministre des Transports se dit convaincu "qu'il n'y aura pas de grève" pendant les Jeux
          Ce n'est pas "dans la culture ouvrière", assure l'ancien maire de Dunkerque, qui estime que la grève doit uniquement être "l'ultime recours" et pas "le début de la négociation".

Selon l’ancien maire de Dunkerque, la grève ne fait pas partie intégrante de la culture ouvrière. Il affirme que faire grève ne devrait être envisagé qu’en dernier recours, et non comme un moyen de démarrer les négociations.

Le ministre des Transports affirme qu’il n’y aura pas de grève pendant les Jeux de Paris 2024

Patrice Vergriete, ministre délégué chargé des Transports, a déclaré sur France Inter que malgré les menaces de grève à la SNCF et à la RATP, il n’y aura pas de grève pendant les Jeux de Paris 2024. En effet, la CGT-RATP a déposé un préavis de grève du 5 février au 9 septembre, incluant la période des Jeux olympiques et paralympiques.

Des menaces de grève qui ne préoccupent pas le ministre des Transports

Ces menaces de grève ne semblent pas inquiéter le ministre des Transports, qui estime que les travailleurs et les syndicats ne mettront pas en péril l’image de la France en faisant grève pendant les Jeux. Patrice Vergriete, fils d’ouvrier, affirme que la grève ne fait pas partie de la culture ouvrière et ne devrait pas avoir lieu pendant cet événement mondial.

Face à ces menaces de grève, certains responsables politiques envisagent de renforcer l’encadrement du droit de grève, notamment avec la mise en place d’un service minimum dans les transports. Cependant, Patrice Vergriete ne semble pas favorable à une telle mesure, estimant qu’il n’est pas nécessaire de réformer le droit de grève pour le moment. Il souligne l’importance de choisir les périodes où le droit de grève peut être restreint, se demandant s’il faut privilégier les vacances ou le quotidien des Français.

Le ministre des Transports préfère faire appel à la responsabilité des acteurs impliqués, notamment des directions des entreprises pour favoriser un dialogue social constructif et des propositions sérieuses, ainsi que des syndicats pour limiter la grève à un ultime recours et non comme point de départ des négociations.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut