Leader mondial Obut vend boules pétanque : 2 millions/an en France et à l’étranger

Obut : leader mondial de la vente de boules de pétanque
          L'entreprise, créée en 1955, vend deux millions de boules par an en France et à l'étranger. En s'adaptant à l'évolution des pratiquants.

Fondée en 1955, la société a su s’imposer en commercialisant deux millions de boules chaque année tant sur le marché national qu’international. Grâce à sa capacité à s’adapter aux besoins changeants des joueurs, elle a su conserver sa position de leader dans le secteur.

En 1907, à La Ciotat, le sport de la pétanque a officiellement vu le jour. Cependant, c’est dans un petit village de la Loire, Saint-Bonnet-Le-Château, que la première boule de pétanque telle que nous la connaissons aujourd’hui a été créée. C’est également dans ce même village que, en 1955, le grand-père, le père et l’oncle de Pierre Souvignet, l’actuel directeur général de la marque, ont décidé de fonder Obut, initialement connue sous le nom de « La Boule au but ».

La Thaïlande, un marché mondial important

Aujourd’hui, Obut produit et commercialise deux millions de boules de pétanque par an, dont la moitié est destinée aux pratiquants en compétition. Outre la France, la Thaïlande se positionne comme le deuxième marché mondial pour l’entreprise. Pierre Souvignet raconte : « Mon père avait une vision novatrice à l’époque en développant des marchés à l’étranger ».

Un engouement croissant chez les jeunes et les femmes

Le profil du joueur de pétanque a considérablement évolué au fil du temps. Bien que l’image du joueur traditionnel avec son bob sur la tête et son pastis à la main perdure, de plus en plus de jeunes et de femmes s’adonnent à la pratique de la pétanque, comme l’explique le directeur général d’Obut.

La pandémie de Covid-19 et les périodes de confinement ont également modifié les habitudes de jeu : « Alors que certains ont construit des poulaillers, d’autres ont aménagé leur jardin pour y jouer aux boules. Ainsi, l’activité est devenue moins saisonnière qu’auparavant ».

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