La CCAT demande la libération immédiate des militants indépendantistes de Nouvelle-Calédonie transférés en France

La situation en Nouvelle-Calédonie est tendue après le transfert de sept militants indépendantistes vers la France. La CCAT, organisation de défense des droits de l’homme, demande leur libération immédiate et leur retour dans l’archipel du Pacifique.

Les militants ont été incarcérés en France, ce qui a déclenché une vague de violences dans l’archipel. La CCAT dénonce cette décision et appelle à la libération des prisonniers politiques. Les tensions entre les partisans de l’indépendance et les partisans du maintien dans la France sont à leur comble.

La situation est suivie de près par la communauté internationale, qui appelle au dialogue et à la désescalade. La CCAT demande aux autorités françaises de respecter les droits des militants indépendantistes et de permettre leur retour en Nouvelle-Calédonie.

Cette affaire met en lumière les tensions politiques qui persistent dans l’archipel, malgré les accords de Nouméa. La CCAT rappelle l’importance du respect des droits de l’homme et de la liberté d’expression pour garantir la paix et la stabilité en Nouvelle-Calédonie.

Il est urgent que les autorités trouvent une solution pacifique à cette crise et permettent le retour des militants indépendantistes dans leur pays. La CCAT continuera de suivre de près la situation et de défendre les droits des prisonniers politiques en Nouvelle-Calédonie.

Nouvelle-Calédonie : la CCAT exige "la libération et le retour immédiat" des militants indépendantistes transférés dans l'Hexagone
          Sept figures indépendantistes ont été transférées vers l'Hexagone pour y être incarcérées, ce qui a provoqué une nouvelle nuit de violences dans l'archipel du sud du Pacifique

Sept militants indépendantistes ont été déplacés vers la France pour y être emprisonnés, ce qui a déclenché de nouveaux affrontements nocturnes dans l’archipel du Pacifique Sud.

La demande de libération des militants par la Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT)

La Cellule de coordination des actions de terrain (CCAT), un mouvement indépendantiste accusé par les autorités d’être à l’origine du soulèvement contre la réforme électorale en Nouvelle-Calédonie, a vivement réagi au transfert de ses militants en métropole pour y être incarcérés. Dans un communiqué, l’organisation a dénoncé ce qu’elle qualifie de « tactiques coloniales » de la France suite à l’arrestation et au transfert de ces figures du mouvement, parmi lesquelles son porte-parole Christian Tein. Celui-ci fait partie des 11 personnes arrêtées lors d’un coup de filet visant le collectif indépendantiste kanak, soupçonné d’avoir orchestré les émeutes contre la réforme électorale dans l’archipel. La CCAT affirme qu’il s’agit de « prisonniers politiques ».

Des violences suite au transfert des militants

Ce transfert a entraîné une nouvelle nuit de violences en Nouvelle-Calédonie. En effet, « La nuit a été agitée et marquée par des troubles sur l’ensemble de la grande terre [la principale île de l’archipel], sur l’île des Pins et Maré, nécessitant l’intervention de nombreux renforts : prises à partie des forces de l’ordre, incendies volontaires et barrages », a déclaré le Haut-Commissariat de la République en Nouvelle-Calédonie, représentant de l’Etat français.

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