De façon régulière, une nouvelle génération semble être plus menaçante que celle qui l’a précédée, et même les artistes de la scène musicale populaire sont choqués par l’agressivité des jeunes.
En 1958, la chanson « Il y avait trois jeunes garçons », écrite par Charles Aznavour depuis une dizaine d’années, a été un sujet de scandale. Malgré son apparence bucolique et innocente, cette chanson raconte en réalité un viol. A cette époque, certains reprochaient à Charles Aznavour de dépeindre une jeunesse sombre et effrayante, écoutant du jazz, commettant des viols et inspirant la peur.
La délinquance juvénile dans la musique
De nos jours, les autorités cherchent toujours des solutions face à la délinquance juvénile qui inquiète une grande partie de la société. Même les rappeurs, habitués à parler de sujets controversés, sont parfois effrayés. Des artistes comme Kalif Hardcore en featuring avec Jul ou la Fonky Family abordent également des thématiques liées à la délinquance juvénile dans leurs chansons.
Les chansons abordant la délinquance juvénile
Dans le cadre de l’émission « Ces chansons qui font l’actu », plusieurs extraits de chansons traitant de la délinquance juvénile sont présentés. Des artistes comme Charles Aznavour, Jul, Kalif Hardcore, IAM, Bernard Lavilliers, Ninho ou encore Renaud abordent ce sujet de différentes manières à travers leur musique.
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Pour suivre l’actualité de cette chronique, vous pouvez consulter le compte Twitter dédié. De plus, un podcast intitulé « Derrière nos voix » propose de découvrir les secrets d’écriture et de composition de huit artistes majeurs de la scène française, tels que Laurent Voulzy, Julien Clerc, Bénabar, Dominique A, Carla Bruni, Emily Loizeau, Juliette et Gaëtan Roussel.
