Incendie volontaire à l’usine Volvic : des tags écologistes retrouvés sur place

Une usine Volvic dans le Puy-de-Dôme cible d'un incendie volontaire mercredi matin, des tags écologistes retrouvés sur place
          Il s'agit d'une annexe de l'usine de Volvic, un petit bâtiment d'une vingtaine de mètres carrés, qui a été touché par cet acte malveillant, selon la gendarmerie.

Selon les autorités, un petit édifice de vingt mètres carrés, faisant partie de l’usine de Volvic, a été la cible d’un acte de vandalisme. Ce bâtiment, qui est une extension de l’usine, a été endommagé par cet acte malveillant, comme l’a indiqué la gendarmerie.

Incendie volontaire à l’usine de mise en bouteille d’eau Volvic

Le mercredi 1er mai, aux alentours de 6 heures du matin, une usine de mise en bouteille d’eau Volvic a été la cible d’un incendie volontaire à Volvic, dans le département du Puy-de-Dôme. Cette information a été confirmée par l’Agence Radio France, citant des sources concordantes, et également par BFMTV.

Selon les informations de la gendarmerie, c’est une annexe de l’usine Volvic, un petit bâtiment d’une vingtaine de mètres carrés, qui a été touchée par cet acte malveillant. Les autorités ont qualifié l’incident d’ « explosion ».

Revendications écologistes et conséquences de l’incendie

Des tags revendicatifs ont été découverts sur les lieux, portant des messages écologistes tels que « extractivisme de l’eau – nan mais à l’eau ». L’incendie a également endommagé le système électrique de l’usine. La direction de Volvic a expliqué qu’il n’y avait pas de production ce jour-là en raison du 1er mai, mais que le redémarrage prévu pour le lendemain ne pourra pas avoir lieu. Toutes les équipes sont mobilisées pour reprendre l’activité le plus rapidement possible.

Volvic a assuré que les dégâts sont uniquement d’ordre technique et n’affectent en rien la qualité de l’eau. La société a condamné fermement cet acte visant à porter préjudice à une entreprise locale historique. Une plainte a été déposée par Volvic, filiale du groupe Danone, auprès de la gendarmerie. La procureure de la République de Clermont-Ferrand a confirmé l’ouverture d’une enquête pour « dégradations aggravées » confiée à la section de recherches de la gendarmerie.

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