Le prochain album de l’artiste, qui sortira le 26 avril, met en scène un personnage fictif nommé Helldebert, créé par l’artiste lui-même. Ce double fictif est le reflet des premières influences musicales de l’artiste, mêlant le hard rock à la chanson française, deux styles qui lui sont chers.
Aldebert, célèbre chanteur pour enfants, s’inspire de ses influences musicales variées pour son prochain album de la série Enfantillages. Ayant grandi en écoutant AC/DC, Nino Ferrer, Slayer et Brassens, l’artiste a décidé d’ajouter une touche metal à son nouvel opus, intitulé Helldebert, Enfantillages 666, qui sortira le 26 avril. Cette démarche n’est pas surprenante pour Aldebert, habitué du festival Hellfest dédié au metal, qui avait déjà incorporé des tonalités rock dans ses précédents titres comme Du gros son ou Hyperactif.
La série à succès Enfantillages permet à Aldebert de collaborer avec des artistes d’autres univers musicaux. Sur l’album Enfantillages 4, sorti en 2021, on retrouve des invités prestigieux tels que Oxmo Puccino, Alain Souchon, Peter Garrett de Midnight Oil et Youssou N’Dour.
Aldebert a déjà dévoilé quelques-unes des collaborations de son prochain album. Le single Le Cartel des cartables, qui dénonce le harcèlement scolaire, a été réalisé en collaboration avec Max Cavalera, chanteur de Sepultura. Une autre chanson à venir, intitulée La marche du monde, réunit l’écrivaine Amélie Nothomb et Serj Tankian, chanteur de System of a Down, et aborde les conflits mondiaux.
L’artiste se réjouit de ces collaborations et du fait que des écrivains prestigieux participent à son album. Il annonce également sa participation à un volet spécial enfants du Hellfest en 2024, et se dit heureux de voir que sa musique pour enfants attire un public varié et passionné.
