Exercice attentat fictif à l’aéroport de Nice, Alpes-Maritimes : renforcement communication forces de l’ordre et secours

Alpes-Maritimes : exercice d'attentat fictif à l’aéroport de Nice
          Un exercice d’attentat fictif était organisé à l’aéroport de Nice (Alpes-Maritimes). L’objectif est de travailler la communication et la coordination entre les forces de l’ordre et les secours.

Un exercice simulé d’attaque terroriste a été mis en place à l’aéroport de Nice, dans les Alpes-Maritimes. L’objectif principal de cette simulation était d’améliorer la communication et la coordination entre les différents services de sécurité et de secours présents sur place. L’entrainement a permis de tester la réactivité des équipes face à une situation de crise et de mettre en place des protocoles d’intervention efficaces. Cette simulation a également permis d’identifier les points forts et les points faibles des différentes forces en présence, afin d’améliorer la préparation et la coordination en cas d’attaque réelle.

Simulation d’une fusillade à l’aéroport de Nice

Un exercice grandeur nature a eu lieu à l’aéroport de Nice (Alpes-Maritimes) où des hommes armés ont fait irruption et ont ouvert le feu sur des voyageurs. Heureusement, il s’agissait d’une fausse fusillade et les 140 personnes impliquées étaient des acteurs jouant le rôle des victimes. Chacun avait un rôle bien défini dans cet exercice qui visait à simuler des conditions réelles. Après quelques minutes, la police est arrivée sur les lieux pour prendre en charge les premiers blessés. L’objectif de cet exercice était de travailler la communication et la coordination entre les forces de l’ordre et les secours, à l’approche des Jeux olympiques qui auront lieu dans quatre mois.

Contexte de menace terroriste

« Notre objectif principal est de collaborer avec nos collègues policiers dans des situations où nous devons secourir tandis qu’eux doivent neutraliser des terroristes. Il est essentiel que ces deux missions puissent être menées conjointement et rapidement », explique le contrôleur général René Dies, directeur départemental du SDIS 06. Cet exercice s’inscrit dans un contexte de menace terroriste.

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