Érosion menace route côtière au Pays-Basque : fermeture de la corniche Saint-Jean-de-Luz-Hendaye

Pyrénées-Atlantiques : au Pays-Basque, une route côtière menacée par l’érosion est interdite au public
          Au Pays-Basque, en France, la célèbre corniche qui relie Saint-Jean-de-Luz à Hendaye est fermée pour trois semaines à cause de l'érosion de la route.

Dans la région du Pays-Basque, en France, on annonce la fermeture de la célèbre corniche reliant Saint-Jean-de-Luz à Hendaye pour une durée de trois semaines. Cette décision a été prise en raison de l’érosion constatée sur la route, mettant en péril la sécurité des usagers. Les autorités locales ont jugé nécessaire de procéder à des travaux de réparation afin de garantir la praticabilité de cet axe routier très fréquenté. Cette situation suscite l’inquiétude des habitants et des touristes qui empruntent régulièrement cette route pittoresque offrant des panoramas magnifiques sur l’océan. Les travaux de réfection devraient permettre de renforcer la structure de la corniche et d’assurer sa pérennité dans le temps. En attendant la réouverture de la route, des alternatives de circulation sont mises en place pour limiter les désagréments occasionnés par cette fermeture temporaire.

La célèbre route de la corniche interdite au public

Pour la première fois, la célèbre route de la corniche au Pays-Basque est interdite au public. En effet, l’érosion a provoqué une accélération du processus qui met en péril cette route emblématique créée en 1928. Longue de 10 km, cette route offre une vue magnifique sur l’Atlantique et est très fréquentée, avec 16 000 véhicules par jour en été.

Fermée pendant trois semaines

Pour des raisons de sécurité, la route de la corniche est fermée à la circulation pendant trois semaines. Selon Xavi Lizaso, agent des routes dans le département des Pyrénées-Atlantiques, cette mesure est prise de manière expérimentale car la route menace de s’effondrer. Entre Saint-Jean-de-Luz et Hendaye, 4 km de route sont interdits à tous, que ce soient les piétons, les cyclistes ou les voitures.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Retour en haut