Émotion à Viry-Châtillon après la mort d’un collégien de 15 ans: hommages et recueillement

Essonne : émotion à Viry-Châtillon après la mort d'un collégien
          Émotion et recueillement à Viry-Châtillon (Essonne), au lendemain de la mort de Shamseddine, 15 ans, roué de coups près de son collège, vendredi 5 avril. Les hommages se multiplient devant les grilles de l'établissement.

A Viry-Châtillon, une ambiance empreinte d’émotion et de recueillement règne au lendemain du décès tragique de Shamseddine, un jeune de 15 ans violemment agressé près de son collège le vendredi 5 avril. Les témoignages de soutien se multiplient devant les grilles de l’établissement, où se rassemblent des proches, des camarades de classe et des habitants de la commune pour rendre hommage à la victime. La tristesse et l’indignation se mêlent dans ce lieu de recueillement, où chacun exprime sa solidarité envers la famille et ses regrets face à cet acte de violence insensé. La communauté locale est profondément bouleversée par cet événement tragique, qui suscite une vague d’émotion et de compassion à travers la ville.

Émotion à Viry-Châtillon après la mort d’un collégien

Dans la matinée du samedi 6 avril, les habitants de Viry-Châtillon ont été témoins de scènes émouvantes alors qu’ils continuaient de déposer des fleurs devant le collège Les Sablons, dans l’Essonne. La tristesse et la consternation ont envahi la ville après l’annonce du décès de l’adolescent agressé à la sortie de l’établissement scolaire.
« On est abasourdis », confie une habitante, tandis qu’un homme ajoute : « Cet événement nous a bouleversé tous ». Des jeunes sont également venus exprimer leur inquiétude et leur chagrin.

Une incompréhension totale

Les personnes venues se recueillir devant le collège témoignent de leur peine pour le jeune homme. « Une telle sauvagerie, je pense que c’est difficile à expliquer. De toute façon, on n’est pas habitué à ce point-là », affirme un professeur de français de l’établissement. Pour soutenir la communauté scolaire et les habitants, une cellule psychologique a été mise en place au collège des Sablons et des mesures de sécurité renforcées dans le quartier.

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