Dans la ville de Nice, située dans le département des Alpes-Maritimes, un important glissement de terrain s’est produit pendant la nuit du lundi 26 au mardi 27 février. En effet, pas moins de 500 mètres cubes de terre se sont effondrés, causant des dégâts considérables. Cet éboulement a eu lieu à proximité de plusieurs habitations, entrainant l’ensevelissement de quatre véhicules ainsi qu’une partie d’un hangar. De plus, on estime que 14 logements seraient encore en danger, menacés par la possibilité d’un nouvel effondrement. Cette catastrophe naturelle a semé la panique parmi les habitants de la région, qui se retrouvent désormais dans une situation d’urgence et de grande précarité. Les autorités locales ont immédiatement mis en place des mesures d’urgence pour assurer la sécurité des habitants et évaluer l’ampleur des dégâts.
Un glissement de terrain impressionnant à Nice
Un glissement de terrain spectaculaire s’est produit à Nice, dans les Alpes-Maritimes. En effet, 500 mètres cubes de terre se sont effondrés dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 février, à proximité de certaines habitations. Ce phénomène a recouvert quatre véhicules et une partie d’un hangar. Environ 14 logements sont actuellement en danger, ce qui a conduit au relogement de huit personnes par mesure de sécurité.
Une saison hivernale pluvieuse dans les Alpes-Maritimes
Les incidents liés aux intempéries se multiplient ces derniers jours dans la région. En effet, une route située de l’autre côté de Nice a été emportée après d’importantes précipitations. Les autorités préviennent que de tels événements risquent de se produire de plus en plus fréquemment chaque hiver. Gaël Nofri, adjoint au maire de Nice en charge de la circulation, souligne que : « Il est important de prendre conscience que, en raison de la nature des sols et des changements climatiques, ces phénomènes sont susceptibles de se reproduire ». Cette saison hivernale est marquée par des pluies abondantes dans les Alpes-Maritimes, avec une accumulation de 110 millimètres d’eau en moins de 24 heures. Il n’avait pas autant plu à Nice au mois de février depuis 1947.
