Disparition d’un père et de ses enfants lors d’intempéries dans le Gard

Intempéries dans le Gard : six personnes, dont un homme et ses deux enfants, portées disparues
          Un père et ses deux enfants ont été emportés par les eaux sur un pont. Trois autres personnes sont également portées disparues.

Sur un pont, un père accompagné de ses deux enfants a été emporté par les eaux. En plus de cette tragédie, quatre autres personnes sont également portées disparues.

Des disparitions suite aux intempéries dans le Sud-Est

Dimanche 10 mars, sept personnes ont été portées disparues à la suite des intempéries dans le Sud-Est de la France. La préfecture du Gard a confirmé que six personnes étaient actuellement recherchées dans le département, suite aux fortes pluies qui ont frappé la région. La vigilance orange crues reste en vigueur dans le Gard.

Les disparitions dans le Gard

La préfecture a indiqué qu’une personne était portée disparue à Gagnières, trois à Dions et deux à Goudargues. Les véhicules des personnes disparues ont été retrouvés, mais pas les personnes elles-mêmes. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a précisé que les recherches étaient en cours pour retrouver les disparus.

Une famille de quatre personnes a été emportée par les eaux à Dions, samedi soir. La mère a été secourue mais son mari et ses deux enfants sont toujours recherchés. Les autorités ont déployé d’importants moyens pour retrouver les disparus, avec la mobilisation de pompiers, sauveteurs aquatiques, drones et hélicoptères.

Recherches en cours

Deux femmes de 47 et 50 ans ont également été signalées disparues à Goudargues, sur un pont submersible. Un Belge sexagénaire est également porté disparu après que sa voiture ait été emportée par les eaux à Gagnières. Les secours ont mobilisé d’importants moyens pour retrouver les disparus, tandis que des renforts de départements voisins et de Lyon sont attendus.

Au total, 250 pompiers ont été mobilisés dans la nuit de samedi à dimanche, ainsi que quatre hélicoptères de la gendarmerie. Cette situation rappelle un événement similaire survenu il y a 10 ans dans le Gard, en 2014.

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