Après l’acte de vandalisme sur le tableau « L’Origine du monde », le maire de Metz, François Grosdidier, a exprimé sa réaction lors d’une intervention publique. Cet événement a suscité une vive émotion au sein de la commune, et le maire a tenu à condamner fermement cet acte de dégradation. Il a souligné l’importance de préserver le patrimoine culturel et artistique de la ville, et a assuré que tout serait mis en œuvre pour retrouver les responsables de cet acte répréhensible. Cette réaction du maire témoigne de son engagement envers la préservation de l’art et de la culture à Metz, et de sa détermination à lutter contre les actes de vandalisme qui menacent ces biens précieux.
Indignation du maire de Metz après le tag d’une œuvre d’art
Le maire de Metz, François Grosdidier, s’est exprimé sur les ondes de France Bleu Lorraine Nord pour condamner fermement le tag d’une œuvre d’art au Centre Pompidou-Metz. En effet, le célèbre tableau « L’Origine du monde » de Gustave Courbet a été vandalisé avec de la peinture rouge, accompagné de l’inscription « Me too » sur la vitre de protection.
Cette action a été menée par l’artiste performeuse Deborah de Robertis, qui a également tagué quatre autres œuvres lors de cet événement. Le maire de la ville a qualifié cet acte d’extrémisme féministe, soulignant le fanatisme des militants qui ont mené cette action.
Pour François Grosdidier, ce type d’action dévoie complètement des causes politiques, philosophiques ou écologiques en adoptant un comportement fanatique et décomplexé. Il va même jusqu’à comparer ces militants à des talibans ou des obscurantistes religieux, tant il est choqué par leur radicalisme.
Suite à cet incident, deux personnes ont été inculpées pour dégradation de bien culturel et vol de bien culturel en réunion, selon les informations du procureur de la République de Metz rapportées par France Bleu Lorraine.
