David Foenkinos : La Vie heureuse, roman mystique après une expérience de mort imminente

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    David Foenkinos présente son nouveau roman “La Vie heureuse”
          Dans son nouveau roman “La Vie heureuse”, David Foenkinos explique comment il est devenu “mystique” après avoir frôlé la mort à l’âge de 16 ans lors d’une opération du cœur.

David Foenkinos raconte dans son dernier ouvrage intitulé « La Vie heureuse » son expérience bouleversante qui l’a conduit à adopter une attitude plus mystique. En effet, à l’âge de 16 ans, il a frôlé la mort lors d’une opération du cœur, ce qui a profondément marqué sa vision de la vie.

Une expérience de mort qui a changé sa vie

A l’âge de 16 ans, David Foenkinos a subi une opération du cœur en raison d’une infection de la plèvre. Avant l’intervention, il a vécu une expérience de mort. Il décrit avoir descendu dans un tunnel de lumière, s’y être arrêté, puis être remonté. Après l’opération, il a passé des mois en convalescence à l’hôpital et a ressenti comme une transformation de sa personne. Selon lui, cette expérience de mort a débloqué sa sensibilité. C’est cette thématique de la mort qui est au cœur de son nouveau roman intitulé La Vie heureuse. Il y aborde une expérience fictive de la mort, mettant en scène Eric et Amélie sur une trentaine d’années, avec un rituel coréen particulier au centre de l’intrigue. Il s’agit d’une thérapie de choc où les individus doivent physiquement vivre leur propre enterrement. Après avoir rédigé leur épitaphe, ils doivent passer une heure dans un cercueil, plongés dans l’obscurité et le silence. Cette expérience vise à les aider à relativiser la vie et à apprécier davantage les choses simples du quotidien.

Une approche différente de la mort en France

David Foenkinos souligne la différence de perception de la mort entre l’Occident et l’Orient. Il constate un rapport angoissé à la mort en Occident, contrairement à d’autres civilisations où elle est célébrée. Il est convaincu que cette thérapie de choc serait bénéfique en France, notamment pour les jeunes en proie à des angoisses existentielles. Pour lui, la mort est une obsession, non pas de manière morbide, mais comme une incitation à profiter pleinement des instants de la vie.

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