Bordeaux : Attentat déjoué avant la flamme olympique Paris 2024

Paris 2024 : une attaque déjouée avant le passage de la flamme olympique à Bordeaux
          Selon Gérald Darmanin, une potentielle action violente a été empêchée à Bordeaux (Gironde), lors du passage de la flamme olympique. Le suspect, proche de la mouvance "Incel", a été entendu par les forces de l'ordre.

D’après les déclarations de Gérald Darmanin, un acte violent aurait été déjoué à Bordeaux (Gironde) lors du trajet de la flamme olympique. Il semblerait que le suspect, qui serait affilié à la mouvance « Incel », ait été interpellé par les autorités pour être interrogé.

Une menace potentielle lors du relais olympique à Bordeaux

Le relais olympique, moment festif rassemblant des milliers de spectateurs, a-t-il été la cible d’une attaque planifiée, comme l’a suggéré Gérald Darmanin ? Selon le ministre de l’Intérieur, un individu préparant une action violente lors du passage de la flamme olympique à Bordeaux a été appréhendé. Il s’agit d’Alex G., un jeune homme né en 1998, sans antécédents judiciaires, mais avec un intérêt pour les « Incel », un mouvement venu des États-Unis où des hommes célibataires exprimant leur haine envers les femmes sont parfois à l’origine de tueries de masse.

Le suspect a fait allusion dans un message à l’une de ces attaques, survenue il y a 10 ans en Californie. Cette situation a suscité l’inquiétude des autorités, notamment en raison de la proximité de certains membres français de ce mouvement avec l’ultra-droite. Cependant, à ce stade, le projet d’attaque semblait flou pour la justice. Lors des perquisitions, les forces de l’ordre ont saisi une arme tirant des balles en caoutchouc, un revolver gomme cogne, un ordinateur et des téléphones portables.

Le suspect, décrit comme psychologiquement fragile, s’est montré très confus lors de sa garde à vue et a affirmé aux enquêteurs qu’il n’était pas capable de commettre une tuerie de masse. Malgré ces éléments, le parquet antiterroriste n’a pas pris en charge l’affaire.

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