Artisans et travailleurs au cœur de la Corrèze : éleveur, institutrice, sauveur de corderie, patronne de café et agence matrimoniale

Corrèze : ces artisans et travailleurs qui font battre le cœur du département
          Cette semaine, France Télévisions pose ses caméras en Corrèze. Elles suivront le quotidien d’un jeune éleveur très prometteur, d’une institutrice, du sauveur d’une corderie traditionnelle, de la patronne d’un café et d’une femme à la tête d’une agence matrimoniale.

Cette semaine, France Télévisions a choisi de mettre en lumière le département de la Corrèze en installant ses caméras pour suivre le quotidien de plusieurs personnages locaux. Parmi eux, un jeune éleveur qui fait preuve d’un grand potentiel dans son domaine, une institutrice dévouée à ses élèves, un sauveur passionné de la traditionnelle corderie, la patronne chaleureuse d’un café typique et une femme entrepreneuse à la tête d’une agence matrimoniale. Chacun de ces individus offre un aperçu unique de la vie en Corrèze, mettant en avant la diversité et la richesse de cette région française.

Retour du Plaisance à Curemonte

Le Plaisance, un restaurant fermé depuis dix ans à Curemonte en Corrèze, rouvre ses portes de façon exceptionnelle. La patronne, Karine Terrieux-Rougier, native de la région, cherche actuellement un repreneur avec son mari Fabrice. Elle se souvient de son enfance passée à aider ses parents au restaurant dès l’âge de 10 ans. C’était une véritable affaire de famille.

A une heure de là se trouve la ferme de la famille d’Aubin Gouny, installé depuis mars 2023. Cette famille est éleveuse d’autruches depuis cinq générations. Malgré la crise agricole, le jeune homme ne se voit pas vivre ailleurs. Son père, très fier de lui, lui a transmis le sens du travail bien fait.

Tradition et savoir-faire depuis 1908

Direction ensuite un bâtiment près de Brive où l’on fabrique des cordes depuis plus d’un siècle. Stéphane Assolari, le propriétaire, originaire de Franche-Comté mais adopté par la Corrèze, a eu un véritable coup de cœur pour l’endroit et le savoir-faire local. En 2018, il a investi toutes ses économies pour sauver la corderie, qui aujourd’hui se porte mieux.

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