Alice Belaïdi parle du tournage d’un film inclusif « Un p’tit truc en plus » au cinéma.

Cinéma : Alice Belaïdi se confie sur le tournage du film "Un p’tit truc en plus"
          Pour le casting de son film "Un p'tit truc en plus", en salle le 1er mai, le réalisateur Artus a choisi de jeunes comédiens porteurs de handicap.

Le réalisateur Artus a décidé de faire appel à de jeunes comédiens en situation de handicap pour son prochain film intitulé « Un p’tit truc en plus », qui sortira en salles le 1er mai. Cette initiative de casting met en avant la diversité et l’inclusion dans le monde du cinéma, offrant ainsi une opportunité aux talents émergents qui sont souvent sous-représentés dans l’industrie. Grâce à cette démarche, le réalisateur souhaite donner une visibilité à ces jeunes comédiens et mettre en lumière leurs compétences et leurs capacités artistiques. Cette décision témoigne de l’engagement d’Artus en faveur de l’égalité des chances et de la représentation de la diversité dans ses productions cinématographiques.

Mise en lumière de jeunes talents en situation de handicap

Le premier long-métrage de l’humoriste Artus, intitulé Un p’tit truc en plus, sortira en salles le 1er mai. Ce film vise à offrir une opportunité à de jeunes talents en situation de handicap et à aborder la question de la différence. L’actrice Alice Belaïdi s’est exprimée sur cette expérience de tournage particulière. « Nous nous sommes rencontrés avant le début du tournage, avons fait des essais costume ensemble. Malgré leur manque d’expérience devant la caméra, le courant est très vite passé. Nous avons organisé des avant-premières qui ont remporté un vif succès. Nous sommes heureux et émus », a déclaré l’actrice.

Une volonté de mettre en lumière ces personnes

Pour ce premier long-métrage, Artus a travaillé avec 15 adultes handicapés. Il a fallu adapter le tournage pour les accueillir, ainsi que leurs familles ou accompagnants. « Certains pensaient qu’un film mettant en avant des personnes handicapées ne serait pas intéressant, mais ils se sont trompés. Nous voulons donner la parole à ces personnes. C’est aussi pour cela que nous faisons du cinéma », a-t-elle ajouté.

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